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Je veux rentrer en contact avec vous à un niveau plus profond, ce pour ça que j'ai partagé mon parcours.

Je pense que si vous connaissez mon histoire, vous serez plus à l'aise pour partager votre histoire. Je peux me tromper, mais il n'y a pas de torts, seulement des choses à apprendre.

 

OK alors qui suis-je?

 

Mon nom complet est Kirsty Natalia D'almeida McWilliam (Dargaisse nom marié), c'est important pour moi car cela fait partie de mon héritage. Ma mère est une Zimbabwéenne 3eme génération métissé, ce qui signifie pour moi, qu'elle est Africaine, Indienne, Portugaise et Américaine. Mon père est Écossais, 4eme génération d'agriculture avec un parti Gallois. C'est aussi la raison pour laquelle je lutte constamment pour définir qui je suis. J'ai mal à décider quel partie de ma nationalité à communiquer, car j'aime tout.

 

Cependant lors de mes études à Tobias School of Art and Therapy, j'arrive d'accepter moi-même, quand j'ai dû choisir un rythme de nature (un cycle dans la nature comme les saisons ou les papillons) pour étudier et peindre le transformation. Cela m'a aidé à comprendre mon parcours et ma lutte pour être défini. Nous pourrions toujours affirmer que nous ne devrions pas être définis et que nous sommes tous des individus qui devraient être libres. Cela ne correspondait malheureusement pas à la culture actuelle.

Pour mes rythmes de nature j'ai choisi les Hirondelles et ils ont me guider dans la compréhension de ma biographie.

 

Maintenant, l'hirondelle naissent dans l'hémisphère nord (Ecosse) au printemps/début de l'été où ils vivent jusqu'à l'automne, puis font un long voyage difficile à coté du désert Sahara vers le Sud d'Afrique (Zimbabwe), où ils passent les mois d'été, la saison des pluies à attraper des insectes. Une fois la saison terminée, ils retournent à nouveau vers le nord en Europe pour le printemps, lorsque le temps est idéal, plus humide et que les insectes reviennent. Ici, ils trouvent un partenaire et la deuxième année se reproduisent en trouvant toujours le même partenaire et le même endroit.

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Je suis né dans l'hémisphère nord, l'Écosse en été et le deuxième automne j'ai voyagé avec ma famille dans un fourgon que mon père a convertir en camping-car. Depuis l'Ecosse nous à travers l'Europe et en Grèce on a traversé pour arriver en Égypte, après on a descendu au Soudan, Kenya, Tanzanie et Zambie finalement arriver au Zimbabwe 10 mois plus tard. Pendant les 7 ans j'ai vécu au Zimbabwe j'étais dans deux fermes différentes où mon père été gérait et après la première année scolaire je suis allé en tant que pensionnaire hebdomadaire pendant 2 ans. Ce qui a naturellement amené ses propres problèmes. Mon père n'a pas pu acheter une ferme, et nous sommes partis (sud) pendant l'été en Nouvelle-Zélande pendant 6 mois, mais ce n'était pas le bon endroit, alors nous sommes retournés (nord)en Écosse pour l'été.

 

J'avais terminé mon premier cycle comme les Hirondelles.


Quand nous sommes revenus en Écosse mon père a finalement réussi à acheter et à ouvrir une ferme bio dans le Black Isle après quelques année, en produisant des pommes de terre de semence bio, sa spécialité. Malheureusement, il est décédé 3 ans après à l'âge de 38 ans, j'avais 13 ans.

Heureusement, ma mère a pu continuer l'entreprise pendant encore 5 ans, car ils avaient un plan précis de 5 ans, même si c'était dur tout seul. Ma mère a me beaucoup appris sur le fait d'avoir une mission / un plan, car cela peut te guider lorsque la vie semble de s'effondrer.

Quand j'ai été accepté à l'université pour étudier l'agriculture, j'ai réalisé que je n'étais pas prêt, j'ai donc décidé de prendre une année sabbatique. J'ai demandé mon oncle en Nouvelle-Zélande si j'ai pu venir travailler sur sa ferme. Je suis partie à l'automne, comme les hirondelles, au Zimbabwe pour voir la famille pendant 3 mois et travaillant également dans l'une des anciennes fermes de mon père. Ensuite je me suis allé en Nouvelle-Zélande pendant 7 mois et j'ai exercé divers emplois, dont l'un dans la ferme bovine de mon oncle. J'ai terminé en Australie pour visiter plus de famille. J'ai rentré chez moi l'été à temps pour mon anniversaire en me sentant prêt pour la prochaine étape.

 

Après la première année j'échoue dans la moitié des sujets qui n'étaient pas basés sur l'agriculture, j'ai donc décidé d'arrêter et de suivre un cours de portfolio d'art pour accéder dans le design à l'Université de Napier à Édimbourg. À Aberdeen, j'ai m’inscrit à l'OTC (corps d’entraînement militaire) pendant 2 ans, apprenant des compétences de survie militaire et de leadership, ce qui m'a donné confiance et un sentiment d'appartenance que je n'avais pas réussi à ressentir auparavant.

À Édimbourg, j'ai rencontré mon mari et vers la fin de ses 2 ans, nous nous sommes mis ensemble avant qu'il retourne en France, un an plus tard j'ai fini mes études et je lui rejoindre. Ne parlant pas Français, j'ai finalement réussi à trouver un emploi de serveuse dans un hôtel Américain. À l'hôtel j'ai parlé avec les ingénieurs qui sont venus pour des réunions et qu'ils ont insisté pour que je travaille avec eux, j'ai expliqué que les RH ne m'intéressaient pas et ils m'ont amené à contacter leur patron et grâce à eux, j'ai réussi à entrer dans la boîte. 

Pendant que j'y étais, j'ai beaucoup appris sur les gens en travaillants dans trois départements différents au cours des 10 années que j'y étais. L'entreprise avait presque doublé de taille et vers la fin, j'ai vu beaucoup de gens devenir la proie de l'épuisement professionnel et du stress. Je voulais aider et quand je le pouvais, je leur rappelais d'écrire, de dessiner, car je sentais que l'art aiderait.

J'ai eu 3 enfants avec 2 naissances compliquées (pre-eclampsie, forcée, naturel) et une fausse couche. La vie a fait des ravages, l'entreprise a changé, mon groupe d'amis proches à tout déménager du pays et j'ai dû m'adapter à ma nouvelle situation. Le trajet vers le travail était plus long et plus stressant chaque fois les enfants grandissaient puisque nous vivions dans les montagnes à plus d'une heure de route (sans bouchon), c'était difficile et j'ai lentement perdu ma joie de vivre et tout est devenu inutile. Je me cachais pour pleurais, sentant qu'il n'y avait personne vers qui me tourner et j'avais honte de ne pas pouvoir faire face à ma vie. J'ai finalement pris le courage de tendre ma main et j'ai trouvé une conseillère Anglais, mais ensuite elle aussi est partie après quelques mois en fin j'ai a décidé d'essayer de voir un thérapeute vocal en français et aussi un thérapeute olfactif en français. C'était la meilleure décision que j'aurais pu prendre. La thérapeute de voix a aidé à me reconstruire et à trouver ma propre voix et le courage de parler. Mon thérapeute olfactif travaillant avec mes énergies trouvant l'équilibre. Les deux me soutient toujours.

De là, j'ai pu changer de direction et finalement, après un an de cours d'art-thérapie en français, j'ai décidé que j'avais besoin une formation plus profond et j'ai déménagé notre famille en Angleterre pour que je puisse poursuivre mes études en santé et bien-être. Mon mari m'a suivi et m'a encouragé à continuer à faire mes études en art thérapie transpersonnelle. Grâce à la formation, à la thérapie personnelle que j'ai suivis, au placement, à la supervision, aux thés et à la dissertation, j'ai beaucoup appris sur moi-même et sur le potentiel que nous peux guérison.

J'ai également réalisé que la guérison est un processus sans fin et une sur laquelle nous devons constamment travailler car la vie ne s'arrête pas une fois que nous avons guéri, au contraire, j'ai trouvé que cela devient difficile des différentes manières à mesure que je suis devenu plus fort.

j'ai accumulé les connaissances et l'expérience nécessaires pour vous accompagner dans votre cheminement.

Je serais honoré d'être votre guide et votre épaule pour vous aider dans ce voyage intérieur de découverte de soi-même.

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